Que nous ayons une heure ou une journée pour effectuer un travail, nous l’effectuons dans le temps imparti, même si l’activité en question demande moins de temps de réalisation.
Moins nous avons de temps, plus nous priorisons en mettant en oeuvre un plan d’actions.
Nous nous arrangeons spontanément pour faire :
- Ce qui nous plaît avant ce qui nous déplaît
- Ce qui est facile avant ce qui est difficile
- Ce qui va vite avant ce qui prend du temps
- Ce que nous savons faire avant ce qui est nouveau
- Ce qui est urgent avant ce qui est important
- Ce que d’autres nous imposent avant ce que nous avons choisi.
Nous sous estimons souvent le temps nécessaire pour réaliser une action, ce qui entraîne des « courses poursuites » après le temps.
Après un certain nombre d’heures de travail, la productivité diminue,
voire même devient négative
Notre appréhension psychologique du temps dépend de l’intérêt que nous portons à la tâche à accomplir.
Un déséquilibre ou une uniformité dans les activités et rythmes provoquent rapidement une baisse de productivité. L’efficacité et la créativité se maintiennent et se développent grâce à l’alternance et la diversité des activités.